Couverture médiatique 6 juin 2019

La Cour facilite les exportations canadiennes vers l’Europe

Malgré l’affirmation de certains observateurs selon laquelle l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne n’a pas donné lieu à des gains suffisants pour les exportations canadiennes en un an et demi d’existence, Didier Culat, avocat sénior chez BCF affirme en entrevue qu’une récente décision juridique pourrait stimuler le commerce avec les pays européens.

Il admet qu’il fut difficile d’amener les entreprises de la Colombie-Britannique à examiner l’AECG, mais il ajoute que la tâche n’a pas été moins difficile dans l’Est du Canada:

« C’est difficile, en Colombie-Britannique, parce que l’Europe est assez éloignée et que la Colombie-Britannique est beaucoup plus orientée vers le littoral du Pacifique que vers l’Europe, mais dans l’Est du Canada, ce n’est pas plus facile parce que notre base manufacturière est orientée vers les États-Unis. Nous sommes intégrés dans les lignes d’approvisionnement américaines... donc c’est une vente difficile. »

Me Culat souligne également que le commerce avec les États-Unis a connu une période difficile sous l’administration Trump, ce qui signifie qu’il est maintenant vital pour le Canada de poursuivre la diversification d’un marché comme celui de l’UE - et la décision du tribunal devrait être un autre catalyseur important.

Pour lire l’article complet publié dans le Business in Vancouver le 6 juin 2019 [en anglais seulement], cliquez ici.